Vendredi 29 février
LA DEGRADATION DU QUARTIER LEPANTE RAIMBALDI
Je réponds ce jour à un article du blog de l’ADRI, concernant la dégradation du quartier Notre-Dame/Lépante/Raimbaldi, avec son lot de conséquences : marchands de sommeil, drogue, violences…
Je ne cesse de déplorer cet état de chose qui ne fait que s’aggraver faute de solution efficace au niveau de la Mairie, en charge du droit des sols.
Une politique volontariste de réhabilitation et d’acquisition de l’immobilier est le préalable indispensable à son renouveau. Elle a fait défaut.
L’échec de la municipalité sortante est patent et ceux des candidats aux élections cantonales qui en font partie ne peuvent prétendre vouloir résoudre valablement un problème qu’ils ont laissé perdurer pendant sept ans.
C’est par une étude approfondie des besoins de la population du quartier et des logements pouvant être créés dans des immeubles, déjà existants et de qualité, mais à réhabiliter, que pourra être élaboré un plan d’ensemble.
Il devra être conjugué à une défense du commerce de proximité, mis à mal par des décisions multipliant l’implantation des moyennes surfaces, telle le CHAMPION, avenue Notre-Dame, contre lequel je me suis battu, jusque devant la Commission nationale d’Equipement Commercial (alors que la Mairie n’est même pas intervenue).
Il s’agit d’une reconquête nécessaire du Centre Ville, qui possède un immobilier déjà existant et la proximité de moyens de transport. D’autres villes ont su le faire.
La création d’un parking dans ce secteur (Est Jean Médecin : rue d’Urfé ou virage de Cimiez ?) est également une nécessité pour le résidents (les immeubles anciens sont dépourvus de parkings) et pour les commerçants (une heure gratuite).
J’invite tous ceux qui se sentent concernés par le problème à me faire part de leurs suggestions ([email protected]). Car tout cela ne se fera qu’avec la volonté des habitants.